Si le printemps et l'été sont des saisons ici très courtisées, l'automne charrie lui aussi son cortège de belles surprises.
Si le printemps et l'été sont des saisons ici très courtisées, l'automne charrie lui aussi son cortège de belles surprises. D'abord pour les couleurs qui embrasent la nature comme un soleil couchant. Pour la vie qui s'active sur le domaine, en pleine vendanges. Et pour la truffe que l'on va chercher en forêt avant de la déguster. Sans parler du lieu qui dit tout le charme de la Provence.
De Septembre à mi-octobre, le domaine est en plein effervescence, dans les vignes comme un chai où l'on récolte et vinifie tous les cépages cultivés ; syrah, mourvèdre, grenache, cinsault, roussane, vermentino, muscat, viognier... La période rêvée pour les fines bouches et esthètes sensibles à la bonne chère et à un peu de fraîcheur retrouvée.
On en profite donc pour visiter le chai, regarder les hommes travailler voire prendre un sécateur pour aller soi-même cueillir quelques grappes. Plus savoureux, on fait une dégustation dans le caveau ou les vignes et on prend des cours d'œnologie. On ne se prive surtout pas non plus de goûter la cuisine très inspirée du Chef de la Bastide de Marie, François Martin, qui a fait ses armes auprès d'étoilés. Chaque jour il signe des plats ultra travaillés en fonction des saisons et du marché, qu'il fait tous les matins, et assortir d'aromates et légumes anciens cultivés en permaculture sur le domaine.
Pour le raison, il décline les petits fruits sucrés en jus, gelée de syrah et fruits d'automne rôtis glacés dans un jus de syrah (avec grapillons de syrah et autres fruits de saison délicatement confits) ou encore son carré de veau rôti au sautoir avec potimarron rôti au fout et poêlée de girolles escortés d'une gelée de muscat aux agrumes.
L'automne, la belle saison pour les champignons que le chef sublime également dans une cuisine savoureuse et raffinée : girolles, chanterelles, cèpes... qu'il appelle sa "cueillette des sous-bois" qu'il poêle et accompagne ensuite d'un jus de volaille et d'un râpé de truffes. Car le Luberon est surtout le haut-lieu de ce champignon rare très convoité, le Vaucluse assurant la production de 60 à 70% de la production nationale et n'étant rien moins que le bureau de trufficulture.
Téléphone : +33 4 90 72 54 21
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